Sai Vibrionics Newsletter

En 2017, lorsqu'une femme de 40 ans a rendu visite au praticien, elle était extrêmement désemparée en raison de craintes inconnues, d'une tristesse persistante et de pleurs inexpliquées. Toute nouvelle de décès la faisait frissonner de peur et le bruit d'une ambulance l'effrayait. Elle ressentait une tension dans les nerfs au sommet de sa tête, ce qui lui donnait un mal de tête intense. Elle manquait totalement de confiance en elle. Ses problèmes ont commencé en 2006, mais sans cause connue. Lorsque les symptômes étaient très intenses, elle se sentait faible, mais elle parvenait à accomplir ses tâches quotidiennes.

En août 2006, un neurochirurgien a ordonné un scanner de son cerveau, mais celui-ci n'a révélé aucune anomalie. Pour ses maux de tête et sa faiblesse, il lui a prescrit des médicaments qu'elle a pris pendant deux ans, mais il n'y a eu aucune amélioration. Même le soulagement temporaire qu'elle a ressenti a été éclipsé par les effets secondaires des médicaments allopathiques. En juillet 2008, elle a commencé à avoir des maux d'estomac du côté droit, des gaz et des éructations le soir et la nuit. De plus, elle a développé des acouphènes dans son oreille droite, caractérisés par un bourdonnement 3 à 4 fois par semaine. Elle a refusé de consulter un ORL par crainte des effets secondaires des médicaments. Mais elle a commencé un traitement homéopathique pour son état psychiatrique et le bourdonnement. Comme il n'y a pas eu d'amélioration, ce traitement a été arrêté au bout de deux mois. En octobre 2008, son médecin a diagnostiqué une dépression et lui a prescrit du Placida, qu'elle a pris jusqu'à ce que le gouvernement indien en interdise l'utilisation en juillet 2014. Pendant ces six longues années, le Placida l'avait rendue somnolente et endormie toute la journée. Elle était capable de gérer ses acouphènes sans aucun traitement.

Après avoir arrêté Placida, son état mental s'est tellement détérioré qu'en août 2014, elle a dû consulter un psychiatre, qui lui a donné du MDD-XR 100 mg OD pour la dépression et des comprimés de Happi-D pour les problèmes gastriques. Si elle manquait ne serait-ce qu'une seule dose, son état devenait très grave. Deux ans après avoir commencé le MDD-XR, en raison des effets secondaires, elle a eu un problème au niveau de sesjambes qui effectuaient des mouvements involontaires. Le psychiatre n'a pu lui proposer aucune autre solution pour remédier à cette situation. Il l'a plutôt avertie de ne pas arrêter le médicament car les effets du sevrage pouvaient être graves. Elle a donc continué à prendre les deux médicaments allopathiques. Le 30 novembre 2017, le mari de la patiente a contacté le praticien (son ami) qui lui a donné :

#1. CC3.7 Circulation + CC4.10 Indigestion + CC5.3 Meniere’s disease + CC12.1 Adult tonic + CC15.2 Psychiatric disorders...TDS 

Au bout d'un mois, elle a ressenti un soulagement de 50 % de tous les symptômes - peur, mélancolie, pleurs sans raison, maux de tête, jambes agitées, acouphènes et problèmes gastriques. Après un autre mois, ses problèmes gastriques et ses acouphènes ont complètement disparu tandis que tous les autres symptômes s'amélioraient progressivement. En dix mois, fin novembre 2018, elle s'est complètement rétablie. Elle ne se sentait plus faible et elle a repris complètement confiance en elle. Son psychiatre a donc arrêté le Happi-D et a réduit de moitié la dose de MDD-XR à 50 mg et, après deux semaines, à 25 mg, pour finalement l'arrêter le 10 janvier 2019. Le 16 janvier 2019, elle a connu une rechute partielle (environ 30 %) de la peur, des maux de tête et des jambes agitées. Ainsi, sur les conseils d'un praticien senior ^11585...Inde, le #1 a été remplacé comme suit :

Pour apaiser:

#2. NM6 Calming + NM25 Shock + NM95 Rescue Plus...TDS

Pour le mal de tête:

#3. NM44 Trigeminal Neuralgia + NM85 Headache-BP...TDS

En deux semaines, sa peur a disparu et elle a été soulagée à 50 % des jambes agitées. Après avoir poursuivi les remèdes pendant un autre mois, à la fin du mois de février, elle a de nouveau obtenu un soulagement de 100 % de tous les symptômes. Le dosage de #3 a été réduit à OD. Comme elle ne prenait aucun médicament allopathique, #2 a été réduit à OD seulement après trois mois, à la fin du mois de mai. Le dosage de #3 a été réduit à OW à la fin du mois de juin avant d'arrêter à la fin du mois d'août 2019. Cependant, la patiente continue de prendre #2 à OD et en juin 2020, elle n'a eu aucune rechute.

En utilisant la boite108CC,donner pour#2:CC15.1 Mental & Emotional tonic; #3: CC11.3 Headaches + CC11.4 Migraines